Sous le pont Mirabeau coule la Seine
et nos amours
Faut-il que je m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
“Les limites de ma langue sont les limites de mon monde”, Ludwig Wittgenstein
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire