D’après l’émission Thalassa du 27/11/2009,
un îlot est une petite île sur laquelle ne pousse aucune plante terrestre.
“Les limites de ma langue sont les limites de mon monde”, Ludwig Wittgenstein
D’après l’émission Thalassa du 27/11/2009,
un îlot est une petite île sur laquelle ne pousse aucune plante terrestre.
D’après l’Internaute :
L'origine exacte de ce proverbe reste inconnue, mais on en trouve des traces dès le XIVème s.
C’est le plus gros des poisson plat, son poids allant jusqu’à 300 kilogrammes et sa taille pouvant dépasser 2,5m.
Il y en a trois sortes principales (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Flétan)
En anglais c’est le fameux et délicieux halibut
This name is derived from haly (holy) and butt (flat fish), for its alleged popularity on Catholic holy-days.
D’après le Trésor de la Langue Française ( http://www.cnrtl.fr/definition/paroxystique ),
[En parlant d'une chose] Qui atteint un degré extrême, voisin de l'excès.
[En parlant d'une pers.] Péj. Qui est excessif.
D’après Wikipédia,
En droit des sociétés, la clause léonine est une clause qui prive un associé de tout droit aux profits de la société ou qui, au contraire, lui attribue la totalité des profits, ou bien encore qui met à sa charge la totalité des pertes ou l'exonère de toute contribution au passif social. Une telle clause est interdite dans un contrat de société.
Une telle clause n'entraîne pas la nullité du contrat de société mais cette clause est réputée non écrite.
Le terme « léonin » signifie en l'espèce la clause par laquelle on se réserve la "part du lion", en référence notamment à une Fable de La Fontaine :
La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion
D’après Wikipédia,
Le coltan (colombite-tantalite) est un minerai de couleur noire ou brun-rouge contenant deux minéraux associés, la colombite (Fe, Mn) (Nb, Ta)2O6et la tantalite (Fe, Mn) (Ta, Nb)2O6.
…
Le coltan se trouve en quantités commerciales en Afrique centrale, notamment en République démocratique du Congo dont la région du Kivu détient entre 60 et 80 % des réserves mondiales, ainsi qu'en Australie, au Brésil, au Canada et en Chine.
Le tantale est très prisé pour sa grande résistance à la corrosion. Considéré comme un métal stratégique, il est surtout utilisé en électronique dans la fabrication de condensateurs mais aussi, il sert à former des alliages avec d'autres éléments (Co, Ni) dans l'aéronautique et particulièrement la fabrication des réacteurs. On l'utilise également comme revêtement, dans les échangeurs de chaleur, et dans des alliages pour les outils de coupe ou de tournage.
Voir aussi sur ce sujet, La guerre du coltan en RDC
L'épigraphe de la Lettre volée d’Edgar Allan Poe « Nil sapientiae odiosius acumine nimio » ( « Rien en fait de sagesse n'est plus détestable que d'excessives subtilités» ) que Poe attribue à Sénèque ne figure pas dans l'œuvre répertoriée de ce dernier.
Le célèbre dictionnaire anglophone Oxford vient de choisir son mot de l'année 2009: c'est "désamicaliser" (to "unfriend" dans la langue de Shakespeare).
Cette action de "rompre le lien créé précédemment dans un réseaux social" (surtout Facebook) est donc le nouveau mot le plus marquant du langage de cette année.
Signe des temps, il y a 3 ans c'était le verbe "googler" qui avait son heure de gloire …
La suite est ici : http://www.zdnet.fr/blogs/media-tech/desamicaliser-mot-de-l-annee-selon-le-dictionnaire-oxford-39710811.htm
Martí de Riquer Morera, comte de Casa Dávalos, né à Barcelone le 3 mai 1914, est un écrivain et philologue catalan.
Il est membre de la Real Academia Española depuis 1965, président de la Reial Acadèmia de Bones Lletres de Barcelona et membre de nombreuses institutions étrangères, dont l'Académie des inscriptions et belles-lettres en tant qu'associé étranger depuis 1990. Il est également professeur émérite de littérature romane à l’Université de Barcelone.
Spécialiste de littérature de langue romane, tant occitane que castillane et catalane, il est l'une des autorités les plus reconnues de la philologie, tant enEspagne que dans le reste de l’Europe. Parmi ses nombreux travaux, on retiendra ses études sur Don Quichotte, sur les troubadours et l’amour courtois, dont il est probablement le plus éminent représentant actuel, avec Albert Hauf, de l'Université de Valence, et son Historia de la literatura catalana.
Il a reçu le Premi Nacional d'assaig de les Lletres Espanyoles (Prix national d'essai des lettres espagnoles) pour son œuvre Aproximació al Tirant lo Blanc en1991, le Premi Príncep d'Astúries de Ciències Socials (Prix Prince des Asturies de sciences sociales) en 1997, le Premi Lletra d'Or (Prix Lettre d'Or) pourQuinze generacions d'una família catalana en 1999, et le Premi Nacional de les Lletres Espanyoles (Prix national des lettres espagnoles) en 2000
Pour tous les détails c’est ici :http://www.home-2009.com/fr/index.html
ou là : http://www.goodplanet.info/goodplanet/index.php/fre/
D’autres citations et réflexions sur le thème de la flamme et de la bougie ici : http://malcontenta.blog.lemonde.fr/2009/01/09/la-solitude-du-reveur-de-chandelle/
Par exemple : “Un être se rend libre en se consumant pour se renouveler, en se donnant ainsi le destin d’une flamme“ |
D’après Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Borie,
Le terme borie a deux acceptions, l'une ancienne ou première, de « domaine agricole », d'« exploitation rurale », de « ferme » ou de « métairie », encore présente dans une bonne partie du Sud-ouest (Dordogne, Lot, Aveyron, Tarn, Tarn-et-Garonne, etc.), l'autre, plus récente, de « cabane en pierre sèche », apparue dans le Sud-est (Bouches-du-Rhône, Vaucluse).
Pour ma part, je connais plutôt la seconde pour avoir passé de nombreuses vacances dans le Vaucluse et la région d’Apt en particulier.
Le terme est la francisation et féminisation du terme provençal bòri (masculin) (cf l'occitan bòria, féminin) employé au xixe siècle dans le sens péjoratif de « masure », de « cahute » (comme l'indique Frédéric Mistral dans son Tresor dòu Felibrige) et ce après avoir désigné une ferme, une métairie ou un domaine rural dans les Bouches-du-Rhône aux xviie et xviiie siècles ainsi que l'attestent la toponymie et les documents d'archives (il existe ou existait des lieux-dits Les Borrys dans le Vaucluse, à Buoux et à Mérindol).
Le mot borie, pris dans l'acception nouvelle de cabane en pierre sèche, a été popularisé par des érudits provençaux de la 2e moitié du xixe et du début du xxe siècle pour habiller archéologiquement un objet d'étude purement ethnologique et par trop contemporain. Ainsi, au début du xxe siècle, David Martin se rendant dans les cafés villageois pour poser la question suivante : « Comment appelez-vous les cabanons pointus de la colline ? » ; comme on lui répondait « ce sont des agachons ou postes de chasse », il répliquait : « Ces cabanons ne sont pas des agachons (...) Il doit y avoir un autre nom plus ancien » 10.
Les vestiges d'un habitat rural saisonnier ou temporaire en pierre sèche que leurs propriétaires villageois ou forains avaient appelés jusque là « cabanes » et « cabanons », se sont vu attribuer une appellation obsolète qui, en Provence, ne s'était appliquée qu'à l'habitation permanente et qui ne subsistait plus qu'à l'état de rares toponymes. Le terme a été repris par Pierre Desaulle dans les années 1960 avec son livre Les bories de Vaucluse, par Pierre Viala, créateur du « Village des Bories », dans les années 1970, et enfin par le Parc naturel régional du Luberon dans les années 1990 avec le livre Bories.
Concernant en particulier, le Village des bories (pris par Jean-Marc Rosier ci-dessus), on a http://fr.wikipedia.org/wiki/Village_des_Bories
Sous le nom récent de « Village des bories » existe, à 3 km à l'ouest de Gordes (Vaucluse), un ancien groupement d'une vingtaine de cabanes en pierre sèche (montées sans mortier) à vocation agricole et à usage principalement saisonnier, constitué depuis trois décennies en musée de plein air.
Autant de mots formés sur le même modèle que rhingrave : à partir de l’allemand “Graf” comte :
Margrave | Comte de | la Marche (pour la liste des marches ou margraviats voir ici ) | D’après Wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Margrave), au Moyen Âge, un margrave était le gouverneur d’une marche carolingienne, c’est-à-dire d’une province frontalière. |
Rhingrave | Comte du | Rhin | La famille des Rhingraves possédait Rheingrafenstein (« le Rocher des Rhingraves ») dans le Cercle électoral du Rhin. |
Landgrave | Comte du | Pays (de l’allemand das Land) | Pour la liste des LAndgraves du Saint-Empire, voir http://de.wikipedia.org/wiki/Landgraf. LE plus connu est le landgrave de Hesse. |
Burgrave | Comte du (ou par extension commandant) | Château (de l’allemand das Burg) (ou par extension d’une place forte ou d’une ville) | D’après Wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Burgrave), il y avait quatre burgraviats héréditaires dans le Saint-Empire :
Quelques familles nobles d'Allemagne ont conservé le titre de burgraves, sans qu'il s'y attache aucune possession territoriale : ce titre donnait néanmoins à son titulaire le rang de prince d'Empire (Reichsfürst). |
Il vit paraître dans la futaie une belle troupe de cavaliers; c'était le comte palatin qui allait en chasse, accompagné des burgraves (...); des landgraves (...); des rhingraves, qui sont les comtes du Rhin (Hugo, Rhin, 1842, p. 190). (d’après lexicographie http://www.cnrtl.fr/definition/rhingrave)
... l'esprit des temps et la nature des lieux avaient fait croître une singulière race de seigneurs. Du lac de Constance aux Sept-Montagnes, chaque crête du Rhin avait son burg et son burgrave. Ces formidables barons du Rhin, (...) maîtrisaient le ravin et la vallée...
Hugo, Le Rhin, 1842, p. 120.
Nom masculin : ( d’après le dictionnaire de l’Académie : http://www.cnrtl.fr/definition/academie8/rhingrave)
Comte du Rhin. Il se disait des Juges, des gouverneurs de villes situées le long du Rhin et de Quelques princes d'Allemagne. La femme du rhingrave était appelée Madame la rhingrave.
Nom féminin :
Nom qu'on donnait autrefois à une sorte de culotte ou haut-de-chausses fort ample, attaché par le bas avec plusieurs rubans.
Extrait de http://versailles.chez.com/vie/mode.htm,
Au début du règne de Louis XIV, la rhingrave et le justaucorps était les vêtements favoris des hommes de la cour. La rhingrave se composait d'une petite jupe en forme de petit tonneau rigide sous lequel était fixé un haut de chausse bouffant. En général, elle montait jusqu'à la ceinture et se poursuivait par un pourpoint très court à manches fendues sur les cotés qui s'arrêtaient aux deux tiers des bras. Le tout agrémenté de rubans multicolores de dentelles tissées d’or et ornés de papillons et d’oiseaux d’or qui étaient alors un signe de richesse.
| 9 - La rhingrave est la pièce la plus extraordinaire, c'est une sorte de jupe-culotte, ornée de dentelles et de rubans superposés. |
Etymologie :http://www.cnrtl.fr/etymologie/rhingrave
Emprunté à l'allemand Rheingraf, titre de seigneur allemand de la région rhénane (propr. « comte du Rhin »), de Rhein « Rhin » et Graf « comte ».
Au sens 2, de Monsieur le Rhingrave Frédéric, nom donné au seigneur de Neuviller, gouverneur de Maestricht, qui, marié à une Française, introduisit la mode de ce haut-de-chausses en France.
… car elle exige tout, tout de suite. Apprendre exige de surseoir à la satisfaction immédiate de cette pulsion. Apprendre, c’est transformer le réel en problème et jouir du travail qu’on consent pour que, petit à petit, ce réel se découvre. Apprendre, c’est renoncer à la brutalité de pornographie pour trouver du plaisir dans l’érotisme du dévoilement. Apprendre, c’est approcher la joie de comprendre. Une joie qui ne s’arrête pas quand on a compris, mais, au contraire, nous entraine vers de nouveaux défis et engage d’autres apprentissages… C’est pourquoi, pour celui qui est porté par le désir d’apprendre, savoir n’est pas un point final, mais un nouveau départ. Les obstacles ne sont pas des occasions de découragement ou d’exaspération, mais une manière de transformer la pulsion en désir. Quand on désire vraiment apprendre, on n’en sait jamais trop. Quand on veut simplement savoir, on en sait vite assez.
Encore une citation extraite de l’excellent livre sur l’éducation de Philippe Meirieu “Lettre aux grandes personnes sur les enfants d’aujourd’hui”
John Dewey (20 octobre 1859 à Burlington dans le Vermont - 1er juin 1952 à New York) est un philosophe américain spécialisé en psychologie appliquée et en pédagogie.Pour plus de détails : http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Dewey
Son système philosophique se rattache au courant pragmatiste développé par Charles S. Peirce et William James.
Citation extraite de l’excellent livre sur l’éducation de Philippe Meirieu “Lettre aux grandes personnes sur les enfants d’aujourd’hui”
Un livre à recommander à tous les parents qui se posent des questions sur l’éducation des enfants dans le monde d’aujourd’hui.
A propos de Célestin Freinet (1896-1966) :
Freinet est l'inventeur d'une pédagogie rigoureuse fondée sur des techniques novatrices : plan de travail, production de textes libres, imprimerie, individualisation du travail, enquêtes et conférences, ateliers d'expression-création, correspondance scolaire, éducation corporelle, réunion de coopérative (OCCE).